Est-ce nécessaire ? Quels sont les risques d'effets secondaires ?
21 médecins et scientifiques apportent leurs éclairages. Découvrez les résumés de leurs propos ci-dessous, ainsi que des liens vers les vidéos de leurs interviews.
Vous pouvez également nous communiquer votre propre témoignage sur cette expérimentation médicale.
Est-ce que ce vaccin vous a empêché d’attraper la Covid ? Est-ce que les effets secondaires de ce vaccin expérimental ont été pires (ou nettement plus toxiques) que les effets secondaires des vaccins traditionnels ?
Avez-vous été victime de troubles gynécologiques ou de troubles cardiaques dans les mois suivant la vaccination ?
Est-ce que ce vaccin vous a empêché d’attraper la Covid ? Est-ce que les effets secondaires de ce vaccin expérimental ont été pires (ou nettement plus toxiques) que les effets secondaires des vaccins traditionnels ?
Avez-vous été victime de troubles gynécologiques ou de troubles cardiaques dans les mois suivant la vaccination ?
« Rappelons tout d’abord que la Covid se soigne très bien, comme de nombreuses études l’ont démontré, notamment au moyen d’Ivermectine. J’encourage également tout le monde à soutenir son système immunitaire, d’autant plus en hiver, en prenant de la vitamine D, de la vitamine C et éventuellement du zinc. A moins d’être immunodéprimé, vous devriez être bien armés pour faire face à Omicron qui est devenu beaucoup moins dangereux que la grippe.
Je suis déçu par les autorités de santé qui n’informent pas suffisamment la population concernant la prévention, les traitements précoces en cas de Covid et, surtout, concernant les effets secondaires de ce ”vaccin” expérimental qui sont parfois très graves et anormalement fréquents (3,9 millions déclarés selon l’OMS) : recrudescence des cancers, myocardites, péricardites y compris chez des jeunes dont certains ne pourront plus faire de sport, ne pourront plus vivre normalement et risquent même d’en mourir. »
Docteur Pascal Sacré
Médecin Anesthésiste Réanimateur
« Le COVID n’est pas la peste. L’immunité acquise est très largement supérieure à l’immunité vaccinale. Par ailleurs, certains de mes patients ont souffert d’effets secondaires graves suite à la vaccination anti-Covid, notamment des thromboses. En conséquence, il me semble inacceptable que le plan de vaccination ait tenté, par la pression, de rendre quasi obligatoire un produit qui ne l’est pas. Le vice-Président de l’Ordre national des Médecins, le Docteur Philippe Boxho, a écrit un article dans le journal Le Soir en s’indignant : «Le plan de vaccination pue le totalitarisme !».
Le Président de l’Ordre des Médecins, Monsieur Dejemeppe, fait barrage à quiconque voudrait entamer un débat déontologique sur la gestion de la crise sanitaire. Pourtant, il n’y a même pas eu de surmortalité en 2021.
Les experts qui ont participé à la Task Force n’ont jamais vu un patient de leur vie. Je regrette qu’il n’ait pas mis des médecins de première ligne dans les Comités d’Experts, mais des virologues bourrés de conflits d’intérêts. »
Docteur Alain Colignon
Chirurgien vasculaire à Nivelles
« Les effets secondaires du vaccin Covid concernent notamment des réactions thrombo-emboliques et des myocardites, la protéine Spike ayant un effet inflammatoire. On voit qu’elle pourrait passer la barrière hémato-encéphalique (vers le cerveau). On constate son tropisme pour les gonades (les organes sexuels). Les effets sur les fausses couches commencent à être analysés, ainsi que les réactivations de cancers.
Ce vaccin expérimental n’était pourtant pas nécessaire étant donné qu’il existait, dès le début de la pandémie, des traitements précoces qui fonctionnent très bien. S’il y a bien un infectiologue en Europe dont la réputation était déjà établie avant la crise Covid, c’est le Professeur Raoult. En suivant son protocole à base d’hydroxychloroquine, d’azithromycine et de zinc, lorsque j’ai attrapé le Covid, mon état s’est amélioré en deux jours.
Le procès qui a été fait à l’hydroxychloroquine est, je pense, un procès criminel. Si on avait soigné la population avec ces traitements simples ou avec de l’ivermectine, on aurait désengorgé les hôpitaux et on aurait évité à des personnes d’en mourir.
Evaluer grossomodo le nombre de personnes qu’on aurait pu sauver si on avait donné ces traitements, je pense que ce serait un décompte utile, si on veut après essayer de mettre les responsabilités là où elles sont… »
Docteur Frédéric Goaréguer
Pédopsychiatre à Limal
« Le nombre de personnes qui auraient pu être sauvées si on avait donné les traitements tels que l’hydroxychloroquine a été évalué aux Etats-Unis. On aurait pu éviter plus de 300.000 décès. Son efficacité était pourtant connue des autorités, dès le début de la pandémie.
La Vitamine D soutient le système immunitaire et le zinc ralentit la progression du virus. L’hydroxychloroquine fonctionne. Pourquoi avoir censuré le débat ? C’est le débat qui fait avancer la science. C’est un droit. »
>> VIDÉO du débat avec le Professeur Castronovo, CLIQUEZ ICI !
Professeur Vincenzo Castronovo
Docteur en Médecine
Académie Royale de Médecine
« Notre expertise démontre que tout patient présentant une infection virale avec symptômes et/ou complications doit être pris en charge par son médecin généraliste pour une consultation médicale complète, précoce et en présentiel. Celle-ci permet d’éviter d’aller à l’hôpital et d’éviter une vaccination Covid-19 expérimentale avec risque d’effets indésirables importants.
En effet, nous menons une seconde expertise de prise en charge de patients présentant des effets indésirables après vaccination Covid-19. Et il est important d’avertir les patients sur les risques de ces injections expérimentales et de leur donner toutes les informations médicales complètes, actualisées et exactes avant qu’ils ne décident d’être des cobayes.»
Docteur David Bouillon
Médecin Généraliste à Mons
« En tant que gynécologue, je suis très préoccupée de l’impact négatif de ces vaccins anti-Covid. Des études ont montré que la protéine SPIKE produite massivement par les vaccinés est thrombogène et pro-inflammatoire via son action sur le système rénine-angiotensine. On constate une augmentation de fréquence des troubles cardiaques, des AVC, des AIT et des cas de mort subite de l’adulte. A noter, chez les femmes vaccinées, une forte hausse des ménométrorragies (saignements anormaux), de l’aménorrhée (absence de règles), des cas d’endométriose ou d’adénomyose qui induisent des pertes de sang douloureuses, nécessitant parfois une hystérectomie (ablation de l’utérus) et des hémorragies en postménopause.
Face à la croissance subite de polypes utérins ou de volumineux fibromes, de la recrudescence des fausses couches (notamment tardives), des retards de croissance intra-utérins, des cancers du sein, des troubles de la fertilité et de l’érection chez les hommes jeunes, la question de la présence de perturbateurs endocriniens à effets oestrogéniques se pose avec acuité. La hausse des cancers extra-gynécologiques (notamment des turbo-cancers), des allergies de novo, des maladies neurodégénératives et des infections opportunistes comme le zona, l’herpès ou le papillomavirus ainsi que les réactions paradoxales lors d’injection d’autres vaccins chez les injectés covid laissent craindre une perturbation globale du système immunitaire. »
Docteur Laurence Kayser
Gynécologue à La Louvière
« Il faut 10 ans pour évaluer l’innocuité (l’absence de dangerosité) d’un traitement et 10 ans de plus avant de l’administrer à des femmes enceintes. On a bafoué la science et le droit dans cette épidémie. Toutes les décisions de nos politiques ont été basées sur l’avis d’experts qui ont des conflits d’intérêts majeurs avec l’industrie pharmaceutique.
Il y a eu des fraudes scientifiques dans les plus grands journaux médicaux comme le Lancet quand ils ont voulu discréditer la chloroquine, au moyen d’une étude frauduleuse payée par les lobbies. Le Pfizer Gate a montré qu’une partie des études sur leur soi-disant «vaccin» était frauduleuse.
Les prétendus «vaccins» contre le Covid ne marchent pas. Ils n’empêchent pas d’être contaminés, ni de transmettre le virus. Ils n’empêchent pas de faire des formes graves. Dans les pays qui ont le plus vacciné, on voit que 80% des personnes en réanimation sont des double- ou triple-vaccinées.
Il faut arrêter cette absurdité de vouloir à tout prix vacciner pour une maladie qui ne tue presque plus personne. Beaucoup de chiffres de l’épidémie et des morts ont été gonflés par les tests PCR qui ont été amplifiés au-delà de ce qui est scientifiquement défendable, qualifiant en «morts du Covid» des personnes qui étaient décédées d’une autre maladie.
Il n’y a pas d’études scientifiques pour appuyer l’administration de 3 doses, 4 doses, 5 doses… L’Agence Européenne du Médicament autorise ce «vaccin» tout en avouant qu’ils ne connaissent même pas la composition exacte de ce produit expérimental.
Officiellement, ce vaccin a déjà provoqué 36.000 morts en Europe, y compris des centaines de sportifs. Les oncologues ont montré une augmentation des morts du cancer après vaccination. Il y a même des enfants qui meurent du vaccin, alors qu’il y avait zéro mort du Covid chez les enfants. Je demande un moratoire sur ces produits expérimentaux qui ne sont pas de vrais vaccins. »
Docteur Christian Perronne
Président de la Commission des Maladies transmissibles du Haut Conseil de la Santé publique
Conseiller des Gouvernements français pendant 15 ans
Vice-Président à l’OMS du groupe d’experts en vaccins pour l’Europe
« Contrairement aux autres vaccins, je constate malheureusement que
le vaccin anti-Covid ne protège pas correctement. Les vaccinés sont tout aussi contagieux que les non-vaccinés.
Beaucoup de mes patients souffrent d’effets secondaires du vaccin.
Pour certains, ce n’est que de la fatigue ou de l’essoufflement. D’autres sont victimes d’arrêts de règles. Certaines de mes patientes ménopausées sont à nouveau réglées ou sont victimes d’importantes hémorragies. Et d’autres souffrent de zonas ou ont été victimes d’un AVC. Il faut déclarer les effets secondaires pour faire avancer la science ! La balance bénéfices / risques pour les jeunes est catastrophique…
Le Covid se soigne pourtant très bien avec de l’ivermectine, de la vitamine D, du zinc et de l’azithromycine. »
Docteur Cécile Andri
Médecin Généraliste à Lasne
« Il y a eu de la propagande pour la prétendue « magie » de ce vaccin, en essayant de l’imposer à tous, alors que 80% de la population n’en a pas besoin, d’autant plus avec OMICRON qui est 20 fois moins mortel que la grippe et que la première souche de Wuhan. Cette pression et cette propagande sont contraires à l’éthique et même illégales au regard des Droits de l’homme et de la Déclaration d’Helsinki.
Dès le premier jour de la crise, il y avait déjà des gens de l’industrie du vaccin autour du président américain et dans les médias. Les lobbies des vaccins, des tests PCR, des masques et des BigData ont été très influents. Une solution unique aux mains des BigData et de l’intelligence artificielle n’est pas possible. Chaque personne est différente. On ne peut pas se servir des BigData comme outil de décision. Ce n’est qu’une aide à la pratique médicale qui doit rester personnalisée. Les GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft) sont devenus des géants aux capitalisations boursières de 1.000 milliards de dollars et plus. Ils veulent capturer les données de santé de tout le monde parce que c’est un marché énorme. »
Docteur et Professeur Martin Zizi
Ancien Conseiller à la Santé publique du Gouvernement belge
« La vaccination contre le Covid est très problématique à cause de la protéine SPIKE qui crée des lésions durables dans le cœur, dans le cerveau et dans le système nerveux central, ainsi que des chamboulements de votre système immunitaire et de votre fertilité. La vaccination des jeunes avec ce produit toxique est un véritable désastre connaissant les dommages irréparables qu’elle engendre.
Cette nouvelle technologie n’a pas été testée de manière adéquate. Il faut au minimum 5 années de tests pour constater les effets sur le long terme. Toutes les raisons poussant à vacciner notamment les jeunes sont de purs mensonges. Les enfants ne sont en aucun cas un danger pour les grands-parents. Il n’y a aucun avantage à se faire vacciner, l’immunité naturelle étant largement supérieure et ce vaccin présentant des risques élevés. »
Docteur Robert Malone
Médecin et Biologiste spécialiste de l’ARN
« J’ai soigné des centaines de patients du Covid et il n’y a eu aucun mort parmi mes patients. On a fait croire à la population que le Covid ne se soignait pas et qu’il fallait rester à la maison, alors que des traitements efficaces existent.
Les risques de saturation des hôpitaux ont été la conséquence directe de ce mensonge. Il y aurait eu beaucoup moins de morts si on avait dit aux gens d’aller chez leur médecin généraliste. Ils ont laissé mourir les gens, sans même leur donner d’antibiotiques en cas de surinfection ! C’est de la folie, ça a fait des morts, une surcharge des hôpitaux faisant croire que la vaccination serait la solution unique. Ce vaccin n’est même pas efficace puisque 90% des gens qui attrapent le Covid sont des vaccinés. En plus Omicron est bénin. Il n’y a plus de morts avec Omicron.
Après chaque vaccination, je teste dans le sang de mes patients : les D-dimères (risques de thromboses ou embolies pulmonaires), la CRP (détectant l’inflammation) et les CPK-MB (montrant des myocardites, inflammation du muscle cardiaque). Les résultats sont catastrophiques, même chez des personnes qui semblent bien portantes pour l’instant. Ce sont des facteurs de risque très importants pour l’avenir des personnes vaccinées. Tous ceux qui poussent ce vaccin chez des enfants commettent un acte criminel. »
Docteur Benoît Ochs
Médecin Généraliste
« Les conditions pour qu’un vaccin soit mis sur le marché n’ont pas été respectées dans le cadre de cette crise sanitaire. L’ivermectine et l’hydroxychloroquine ont été discréditées uniquement parce que l’absence de traitements est une des conditions pour mettre prématurément un produit expérimental sur le marché. Les revues médicales sont une extension du bras marketing des entreprises pharmaceutiques. Les raisons d’être de ce vaccin sont financières permettant à l’industrie pharmaceutique de brasser des dizaines de milliards de dollars.
Les plans pandémie n’ont pas été respectés. Des mesures non fondées scientifiquement ont été imposées sans débat. Les meilleurs experts indépendants ont été exclus, censurés et diffamés. On a assisté à des arrangements illégaux entre les Etats et les multinationales, ainsi qu’une mainmise sur les médias. On est vraiment dans un système mafieux. La corruption du système de santé par l’industrie pharmaceutique est la troisième cause de mortalité la plus élevée en Occident. »
Professeur Jean-Dominique Michel
Anthropologue de la Santé depuis 30 ans
« Le patron de Pfizer a admis que l’ARN messager n’avait jamais permis de sortir un produit fiable. En tant que spécialiste en ARN, je peux vous dire qu’injecter une population saine avec de l’ARN, c’est de la folie.
Il y a également des produits dérivés d’animaux dans ce vaccin d’où les cas de maladie de Creutzfeldt-Jakob. L’EMA a décrit les risques de maladies à prion (pouvant mener à des dégénérescences cérébrales progressives).
Des études effectuées dans les pays scandinaves et en Israël, sur 23 millions d’habitants, montrent que le nombre de myocardites (inflammation du cœur) est 4 à 7 fois plus élevé chez les vaccinés, après 1 dose, que chez les non-vaccinés. Après 2 doses, ça devient encore pire et on constate de 9 à 28 fois plus de myocardites et d’arrêts cardiaques, notamment chez les jeunes ! Il faut arrêter ces injections immédiatement ! »
Alexandra Henrion Caude
Chercheur spécialiste de l’ARN
Ancienne Directrice de Recherche de l’INSERM
« Ce prétendu vaccin contre le Covid n’est pas un vrai vaccin. C’est un poison. On a assisté à une véritable campagne marketing pour vendre et imposer des préparations qui tuent un certain nombre de personnes vaccinées, tant des personnes âgées que des enfants et des sportifs.
Après deux doses de Pfizer, il y a déjà eu 21 personnes décédées de la maladie de Creutzfeldt-Jakob. L’ARN peut aussi avoir des effets sur les générations futures. Vacciner les enfants avec ce produit, c’est de la folie !
Par ailleurs, ce virus est le fruit de manipulations en laboratoire. Il a été manifestement créé par des spécialistes en biologie moléculaire. »
Professeur Luc Montagnier
Prix NOBEL de médecine pour ses travaux sur les virus
« Chez les jeunes et les enfants, la vaccination contre le Covid n’a aucun sens, puisqu’ils ne risquent pas de formes graves de la maladie. Prétendre qu’il y aurait un bénéfice collectif est un mensonge étant donné que ce vaccin ne fait pas baisser les taux de contamination et la propagation du virus. Ce vaccin n’est pas efficace.
Il existe des traitements (corticoïdes, anti-coagulants, anti-viraux, ivermectine, hydroxychloroquine, antibiotiques en cas de surinfection, vitamine D, oxygène à domicile…). Mais l’Ordre des Médecins et les médias ont étouffé ces informations. C’est un véritable scandale.
Il y a des conflits d’intérêts majeurs avec l’industrie pharmaceutique. Les médias sont sous l’emprise de quelques grandes familles de milliardaires. Et l’OMS est sous l’emprise de Bill Gates qui finance et commande la partie «Vaccins» de l’OMS. Les Etats ne sont plus souverains face aux multinationales et à la puissance de l’argent dans le monde actuel, qui permet de mentir au peuple pour garder le pouvoir. »
Docteur Louis Fouché
Médecin Anesthésiste Réanimateur
« Ce vaccin n’empêche pas la circulation du virus et ne freine pas l’épidémie. Des mensonges ont été proférés par des experts et médecins qui ont des conflits d’intérêts en étant financés par l’industrie pharmaceutique.
Il y a des traitements qui fonctionnent très bien comme l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et le zinc. Bien sûr, si on ne soigne pas les gens, il y a des morts. Ce qui s’est passé est de la pure folie.
L’OMS est très «achetée» par Bill Gates qui dirige la politique vaccinale du monde, au travers du GAVI et de l’OMS qu’il contrôle. Quand Bill Gates a prétendu qu’on pouvait créer un vaccin sûr et efficace en 6 mois, je me suis demandé s’il avait perdu la raison. C’est bien sûr totalement impossible à réaliser ! Il faut 10 ans de recul pour ne pas faire n’importe quoi. »
Professeur Didier Raoult
Expert de réputation internationale en Immunologie
Directeur du CHU de Marseille
« Le vaccin contre le Covid est dangereux, d’autant plus pour certaines catégories d’âge. Les statistiques sont manifestes malgré que les effets indésirables soient insuffisamment répertoriés.
On constate clairement que les personnes vaccinées sont devenues hypersensibles à l’infection. Mais Sciensano tente de camoufler certaines informations. Ils font croire que ces informations sont non détectables. Mais c’est un mensonge.
Sciensano n’est pas indépendant. Ils sont payés par le gouvernement. Et jamais nos ministres n’oseront avouer l’échec et les dégâts créés par une vaccination qu’ils ont poussée de manière excessive. Il y a une censure et une instrumentalisation de la situation par le politique. »
Professeur Christophe de Brouwer (ULB)
Docteur (PhD) en Science de la Santé publique
« Vacciner les jeunes contre la Covid-19 est contraire à l’éthique pour quatre raisons : les jeunes ne meurent pas de la maladie ; ils ne développent pratiquement aucune forme grave ; le vaccin n’empêche pas la contagion et comporte d’importants effets secondaires.
Par ailleurs, il existe des moyens de prévention et de traitements efficaces comme l’azithromycine, l’hydroxychloroquine et le zinc. »
Docteur Eric Ménat
Professeur et Médecin généraliste
« Le meilleur moyen de se protéger contre les infections virales telles que la Covid, c’est de soutenir notre système immunitaire avec de la vitamine C, de la vitamine D, du zinc, du sélénium et éventuellement des huiles essentielles.
En cas d’infection, les hautes doses de vitamine C sont extrêmement efficaces. Même en cas de choc septique, la vitamine C en I.V. (intraveineuse réalisée par un médecin) à haute dose peut améliorer rapidement la situation, y compris chez des personnes âgées. »
Docteur Jean-Philippe Labrèze
Médecin généraliste et Naturopathe
« Pour lutter contre le Sars-Cov2, la solution la plus efficace, c’est l’IVERMECTINE. Les personnes qui prennent de l’Ivermectine n’atterrissent pas en réanimation, parce que l’ivermectine freine fortement la réplication virale et est également un puissant anti-inflammatoire. C’est l’inflammation excessive qui dégrade le tissu pulmonaire, pas le virus. Plus tôt on prend de l’ivermectine (en prévention ou dès les premiers symptômes), plus elle est efficace. »
Docteur Pierre Kory
Médecin spécialisé en Soins Intensifs
« Pour bien comprendre pourquoi les molécules anciennes qui existent depuis 50 ans ou 80 ans comme l’ivermectine, l’hydroxychloroquine et tous les autres traitements et moyens de soutien du système immunitaire ont été dénigrés pendant la crise Covid, il faut comprendre trois réalités économiques.
La première, c’est que les brevets permettent de vendre un produit 100 fois plus cher que son coût de fabrication, parce que les brevets (sur les nouveaux vaccins par exemple) limitent la concurrence pendant 20 ans. Alors que des molécules anciennes, n’étant plus sous brevet après 20 ans, peuvent être fabriquées à un coût dérisoire par des labos de génériques ce qui fait chuter les prix et réduit les marges drastiquement. Il n’y a donc aucun intérêt financier à pousser l’ivermectine, ni l’hydroxychloroquine qui ne sont plus sous brevet.
La très puissante industrie pharmaceutique a donc tout intérêt à les discréditer. Il en va de même pour tous les autres traitements précoces (cortisone contre la tempête de cytokines provoquant les lésions pulmonaires, anticoagulants contre les risques d’embolies, antibiotiques contre les risques de co-infections bactériennes…), ainsi que les nutriments essentiels (vitamine D, vitamine C et zinc). N’étant pas sous brevet, aucune de ces solutions ne permet de générer des marges bénéficiaires royales contrairement à de nouveaux vaccins fraichement brevetés.
La deuxième réalité économique, c’est que les laboratoires ne peuvent obtenir une autorisation de commercialisation en urgence d’un produit expérimental (sans attendre les 10 ans d’observation nécessaires relatifs aux effets à long terme), qu’à condition qu’il n’existe aucun traitement disponible. L’industrie pharma et leurs experts avaient donc un deuxième mobile pour discréditer tous les traitements disponibles.
Il est également utile de comprendre une troisième réalité économique essentielle, c’est la monstrueuse puissance d’influence et de contrôle de l’industrie pharmaceutique, qui génère plus de 1.200 milliards de dollars par an, dont près de 30% sont consacrés au marketing et au lobbyisme. »
Aubry de Broqueville
Economiste (Université de Louvain) et Administrateur de PME